Cette opération de démolition-reconstruction de la résidence sociale des Hautes-Noues, qui prévoit de loger plus de 300 hommes en insertion, s’inscrit dans la dynamique de renouvellement actuellement à l’œuvre sur la commune de Villiers-sur-Marne. Pour prendre en compte la densification future du terrain, la nouvelle résidence s’implante en fond de parcelle, à l’arrière de la résidence existante. Des retours en peigne dessinent un rythme sur rue afin d’atténuer une brutalité qu’induirait une frontalité trop franche.
Dans les espaces extérieurs, les espaces publics qui bordent le bâtiment ou les espaces intérieurs qui s’ouvrent les uns sur les autres, l’accent est mis sur la rencontre entre les habitants. La résidence sociale est en effet conçue à la fois autour de lieux de vie collective et de lieux intimes, riches d’une vraie intériorité. Le projet intègre également un parti paysager clair et remarquable : la morphologie du bâti répond à la fois au projet urbain d’entrée de ville et permet la création de jardins intérieurs sur lesquels s’ouvrent les logements.
Avec 2 400 m3 de structure bois pour seulement 45 tonnes d’acier, le projet représente à l’heure actuelle l’un des plus gros chantiers bois en France, avec une surface de plancher de 6.836m². Le choix d’une filière sèche comme la construction bois permet une construction rapide qui réduit drastiquement les délais de réalisation : beaucoup d’éléments ont été préfabriqués et arrivent « prêts à la pose » sur le chantier. L’association de techniques traditionnelles de construction (système poteaux-poutres) avec des savoir-faire innovants tels que l’alliance du bois, du métal et du béton participent à améliorer les performances du bâtiment.
Cette opération de démolition-reconstruction de la résidence sociale des Hautes-Noues, qui prévoit de loger plus de 300 hommes en insertion, s’inscrit dans la dynamique de renouvellement actuellement à l’œuvre sur la commune de Villiers-sur-Marne. Pour prendre en compte la densification future du terrain, la nouvelle résidence s’implante en fond de parcelle, à l’arrière de la résidence existante. Des retours en peigne dessinent un rythme sur rue afin d’atténuer une brutalité qu’induirait une frontalité trop franche.
Dans les espaces extérieurs, les espaces publics qui bordent le bâtiment ou les espaces intérieurs qui s’ouvrent les uns sur les autres, l’accent est mis sur la rencontre entre les habitants. La résidence sociale est en effet conçue à la fois autour de lieux de vie collective et de lieux intimes, riches d’une vraie intériorité. Le projet intègre également un parti paysager clair et remarquable : la morphologie du bâti répond à la fois au projet urbain d’entrée de ville et permet la création de jardins intérieurs sur lesquels s’ouvrent les logements.
Avec 2 400 m3 de structure bois pour seulement 45 tonnes d’acier, le projet représente à l’heure actuelle l’un des plus gros chantiers bois en France, avec une surface de plancher de 6.836m². Le choix d’une filière sèche comme la construction bois permet une construction rapide qui réduit drastiquement les délais de réalisation : beaucoup d’éléments ont été préfabriqués et arrivent « prêts à la pose » sur le chantier. L’association de techniques traditionnelles de construction (système poteaux-poutres) avec des savoir-faire innovants tels que l’alliance du bois, du métal et du béton participent à améliorer les performances du bâtiment.